Parce qu'elles ont du talent…

Parce qu’elles ont du talent, elles vivent de fabuleuses carrières en tant que femmes ingénieures. Oui, les écoles d’ingénieurs s’engagent en faveur de la mixité de leurs promotions ! Pour encourager les vocations féminines, elles se mobilisent par des actions de sensibilisation. Pari tenu pour 3iL Ingénieurs !

BIENTÔT PLUS DE 30 % DE FILLES DANS LES PROMOTIONS ?

Favoriser le brassage de nos promotions permet à notre école 3iL Ingénieurs de confronter les styles de management, ceux-là même que les jeunes diplômé.e.s rencontreront en entreprises ou dans les administrations. La mixité des promotions est engagée pour faire admettre aux jeunes filles que de belles carrières scientifiques s’offrent à elles dans les métiers informatiques et numériques.
Le secteur de l’informatique manque toujours cruellement de main d’oeuvre qualifiée et féminine. Les étudiantes de 3iL Ingénieurs surfent donc sur la vague tout en s’investissant auprès des collégiennes et des lycéennes, pour inverser la tendance, encouragées et  soutenues par la direction.

Si le monde informatique souffre de clichés peu attractifs, les représentations genrées véhiculées par la société sont un autre facteur à l’origine de la sous-représentation des femmes
dans les métiers du numérique. Sur le campus délocalisé de Douala au Cameroun, les filles représentent 30% des effectifs.
Moins soumises au poids de la culture, elles se lancent volontiers dans les études d’informatique, alors qu’en France elles ne représentent que 13% des effectifs. En 2020, il faut encore et toujours marteler l’évidence : tout le monde est capable, tout le monde dispose des prérequis, l’informatique n’a pas de sexe. Alors vive la mixité.

 

 

LES SCIENCES ET LA TECHNOLOGIE : C’EST GLAMOUR

Les chiffres sont sans appel. À la rentrée 2020, 3iL ingénieurs compte 16% de filles dans les parcours informatiques : Ingénieur 3iL et programmes spécialisés confondus. C’est mieux que les années précédente, mais il y a encore beaucoup à faire !

Pourquoi une telle désaffection ?
Parmi les raisons, une méconnaissance des disciplines. Afin de montrer que les sciences et la technologie sont aussi glamours, les étudiantes de 3iL ainsi que des membres de
l’équipe de la direction vont régulièrement à la rencontre des élèves et ce, dès le collège. Elles sont aussi présentes dans les salons, participent à des concours comme Ingénieuses, à des événements en lycée comme Sciences au féminin. Des diplômées de 3iL vont également au contact des plus jeunes, par exemple en les invitant dans les entreprises. Une expérience de terrain qui marque les esprits.

Autre raison, le manque de modèles. Tout le monde connait le portrait d’Einstein. En revanche les femmes sont rares, à l’exception peut-être de Marie Curie. Quant à en trouver
des récents, c’est encore plus compliqué. Qui connait Ada Lovelace, pionnière des sciences informatique considéré comme « le premier programmeur au monde » ou Margaret Hamilton, informaticienne, ingénieure système et cheffe d’entreprise américaine, directrice du département génie logiciel au sein du MIT Instrumentation Laboratory qui conçut le système embarqué du programme spatial Apollo ? Et pourtant les parcours de scientifiques et d’ingénieures talentueuses ne manquent pas.

BIENTÔT PLUS DE 30 % DE FILLES DANS LES PROMOTIONS ?

LES SCIENCES ET LA TECHNOLOGIE : C’EST GLAMOUR

Favoriser le brassage de nos promotions permet à notre école 3iL Ingénieurs de confronter les styles de management, ceux-là même que les jeunes diplômé.e.s rencontreront en entreprises ou dans les administrations. La mixité des promotions est engagée pour faire admettre aux jeunes filles que de belles carrières scientifiques s’offrent à elles dans les métiers informatiques et numériques.
Le secteur de l’informatique manque toujours cruellement de main d’oeuvre qualifiée et féminine. Les étudiantes de 3iL Ingénieurs surfent donc sur la vague tout en s’investissant auprès des collégiennes et des lycéennes, pour inverser la tendance, encouragées et  soutenues par la direction.

Si le monde informatique souffre de clichés peu attractifs, les représentations genrées véhiculées par la société sont un autre facteur à l’origine de la sous-représentation des femmes
dans les métiers du numérique. Sur le campus délocalisé de Douala au Cameroun, les filles représentent 30% des effectifs.
Moins soumises au poids de la culture, elles se lancent volontiers dans les études d’informatique, alors qu’en France elles ne représentent que 13% des effectifs. En 2020, il faut encore et toujours marteler l’évidence : tout le monde est capable, tout le monde dispose des prérequis, l’informatique n’a pas de sexe. Alors vive la mixité.

 

 

Les chiffres sont sans appel. À la rentrée 2020, 3iL ingénieurs compte 16% de filles dans les parcours informatiques : Ingénieur 3iL et programmes spécialisés confondus. C’est mieux que les années précédente, mais il y a encore beaucoup à faire !

Pourquoi une telle désaffection ?
Parmi les raisons, une méconnaissance des disciplines. Afin de montrer que les sciences et la technologie sont aussi glamours, les étudiantes de 3iL ainsi que des membres de
l’équipe de la direction vont régulièrement à la rencontre des élèves et ce, dès le collège. Elles sont aussi présentes dans les salons, participent à des concours comme Ingénieuses, à des événements en lycée comme Sciences au féminin. Des diplômées de 3iL vont également au contact des plus jeunes, par exemple en les invitant dans les entreprises. Une expérience de terrain qui marque les esprits.

Autre raison, le manque de modèles. Tout le monde connait le portrait d’Einstein. En revanche les femmes sont rares, à l’exception peut-être de Marie Curie. Quant à en trouver
des récents, c’est encore plus compliqué. Qui connait Ada Lovelace, pionnière des sciences informatique considéré comme « le premier programmeur au monde » ou Margaret Hamilton, informaticienne, ingénieure système et cheffe d’entreprise américaine, directrice du département génie logiciel au sein du MIT Instrumentation Laboratory qui conçut le système embarqué du programme spatial Apollo ? Et pourtant les parcours de scientifiques et d’ingénieures talentueuses ne manquent pas.

Ingénieur au féminin : édition spéciale 1

Les secteurs industriels et scientifiques qui recrutent les filles !

Non, les diplômées des écoles ingénieurs n’ont pas pour seuls débouchés les métiers des sciences du vivant et de la chimie ! Industrie 4.0, transformation numérique, smart city, numérique et tant d’autres secteurs permettent de belles carrières. Allez les filles, soyez industri’elles !

Le numérique

Le numérique, justement ! Ce secteur est en manque de compétences mais aussi de femmes. Dans ce contexte de pénurie de talents favorisant le recrutement des jeunes diplômés, malgré les nombreuses initiatives mises en oeuvre (Talents du numérique, Femme@numériques), ce secteur d’activité peine à attirer les filles. Puisque toutes les entreprises sont impactées par la transformation numérique, les filles ont donc de sérieux atouts en main pour y faire carrière.