Formation continue

Dans le cadre de la crise sanitaire actuelle, le FNE (Fond National de l’Emploi) souhaite accompagner les entreprises en prenant en charge 100% des formations pour le développement des compétences de leurs salariés. Ainsi, toute entreprise peut demander à bénéficier de cette aide pour soutenir et accompagner les projets de formation de ses salariés en activité partielle.

Les tarifs sont susceptibles de modifications, pour tous renseignements veuillez contacter Madame Odile Duvalet :  

Votre contact

Jean-Paul Borie, Responsable des Relations Entreprises pour le Groupe 3iL, est votre contact privilégié pour toute question concernant la formation continue.

Vous pouvez lui écrire à :

Formation continue : édition « crise sanitaire » 3

Quelles sont les formations éligibles au FNE-Formation renforcé ?

Toutes les formations réalisées sur le temps de travail sont éligibles, ainsi que les actions de Validation des acquis de l’expérience (VAE) et de bilans de compétences.

En détails

Sont exclues les formations obligatoires (habilitation électrique, sécurité…) et les formations en alternance (contrat d’apprentissage et contrat de professionnalisation).

Ces formations devront tenir compte des règles de confinement et ainsi, être réalisées 100 % à distance.

Les formations devront être réalisées durant les périodes d’inactivité des salariés placés en activité partielle. La durée de la formation ne peut, quant à elle, excéder la période d’activité partielle.

Les formations réalisées dans le cadre du FNE-formation renforcé pourront être valorisées dans le cadre des entretiens professionnels (bilan à 6 ans).

Formation continue : édition « crise sanitaire » 1

Quel financement est-il prévu ?

L’Etat prendra en charge 100 % des coûts pédagogiques des actions réalisées dans le cadre du plan de développement des compétences, sans plafond horaire.

La prise en charge sera automatique jusqu’à 1 500 € par salarié. Si les coûts pédagogiques sont supérieurs à 1 500 € par salarié, le dossier fera l’objet d’une instruction plus détaillée par la Direccte, notamment sur la justification du niveau du coût horaire.